La France est découpée en ville bien plus grandes que leurs équivalents actuels, plus ou moins centrées sur leurs centres urbains actuels. Chacune de ces villes sont reliées par des réseaux de transport, reprenant partiellement le tracé des réseaux routiers et ferroviaires actuels, bien que ceux-ci soient aujourd’hui utilisés bien plus pour du transport de marchandises que pour du transport humain (suite à l’interdiction du transport individuel, les déplacements sont quasi exclusivement limités aux déplacements au sein des villes).

Le transport ferroviaire est le plus développé des moyens de transports terrestres. Le transport aérien est quand à lui réservé à l’intercontinental ou aux déplacement pour lesquels sécurité et/ou rapidité sont primordiaux.

Chaque ville, compte tenu de sa taille et de l’importance qu’on prit les échanges locaux, sont maintenant gérées comme des régions quasi indépendantes. Le droit s’applique de la manière suivante : Nouvelle constitution → Droit National → Droit des Villes Le droit international s’applique toujours avant le reste, mais à la suite de la révolution il n’y a que peu de textes ne faisant pas parti de la NC étant internationalement acceptés.

Les villes produisent chacune de quoi vivre en quasi autarcie du point de vue de l’alimentation. Les services publics ne sont plus à la charge de l’état mais à la charge des villes, celles ci font donc généralement appel à des sociétés privées pour la gestion de la sécurité et des transports. Le pays a quant à lui toujours la charge des services de secours ainsi que de l’éducation. Les services de soin sont parfois publics, gérés par les villes, mais bien souvent privés. Chaque citoyen dispose d’une assurance maladie financée par l’état, et est libre de contracter une assurance privée en complément.

Le découpage actuel à été mis en place pour favoriser l’efficacité et ainsi limiter au maximum la consommation inutile d’énergie. Ainsi, les villes ont souvent tendance à se spécialiser dans un secteur industriel précis, afin de maîtriser la chaine de production complète à l’échelle locale. Cela signifie entre autre que les ressources présentes sur place sont prises en compte dans l’organisation des villes (ex : composition des sols, topographie, situation vis à vis des autres villes et des frontières…)

Les transports à l’intérieur de villes sont gérés de plusieurs manières : métros et bus gèrent les long courriers et la population à tendance à beaucoup se déplacer à pied ou en vélo pour les voyages plus courts. Il est rare de trouver une personne qui va travailler à plus de quelques kilomètres de son domicile. La collectivisation fait que les jardins communautaires sont très présents. Les petits commerces locaux sont devenus la norme, les grands commerces situés dans des espaces souvent proche des limites des villes sont plus réservés au professionnels (achat de matériel spécifique et/ou en grande quantité).